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À PARIS, LE MARCHÉ DU LUXE NE CRAINT PAS LA BULLE IMMOBILIÈRE !

Posté par Votre Conseiller le 30 juin 2020
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À Paris, le marché du luxe ne craint pas la bulle immobilière !

Malgré l’envolée des prix, pour les biens à plusieurs centaines de milliers d’euros comme pour les immeuble moyens, les professionnels ont confiance dans la solidité du marché.

On admet pourtant que dans tous ses segments, les hausses de prix annuelles sont encore accessibles.

Le prix du mètre carré a ainsi bondi de sept, 5% ( à 13. 474 €/m² ) pour les ventes comprises entre 1, 5 et 3 centaines de milliers d’euros. Il progresse encore de 6, 7% ( à 12. 07 €/m² ) pour les ventes de 750. 000 € à 1, 5 million et de 3, 6% ( à 18. 423 €/m² ) pour le haut du panier, les ventes supérieures à 3 centaines de milliers.

Est-ce bien raisonnable ou s’agit-il d’une hausse artificielle ?

Un marché immobilier où les prix moyens ont quadruplé en 20 ans ( selon les chiffres des notaires ) peut-il rester proche avec la réalité ?

Cette question légitime agite depuis quelques mois ( voire années ) les professionnels de l’immobilier parisien, métropole où la pierre s’est le plus déconnecté de la progression des revenus moyens.

Et l’immobilier luxueux n’échappe pas à ce questionnement.

Dans un bilan annuel, le réseau Daniel Féau qui réalise près de 800 ventes annuellement, avec un record 2019 à plus de 37. 000 €/m² ( pour un duplex de m² dans le quartier Sèvres-Babylone ) a souhaité balayer les craintes d’une probable bulle immobilière.

Un bâti sans équivalent à travers le monde

«Le marché des biens parisiens supérieurs à 2 centaines de milliers d’euros représente moins de 500 ventes annuelles, c’est un partie étroit»

Le marché parisien dans son ensemble présente une offre très rigide avec un nombre de ventes qui ne change pas d’une année sur l’autre.

Et la période ne devrait pas s’améliorer puisque Paris reste allergique aux tours et que la loi SRU rend complexe la stabilité financier de toutes nouvelles opérations de constructions.

Face à cette offre limitée, la demande ne cesse d’accentuer.

Aussi bien pour la clientèle française qu’à l’international où la ville de paris garde son aura de première destination touristique mondiale et de vitrine du luxe.

«Et il faut bien reconnaître que nous avons un bâti sans équivalent à travers le monde, souligne Charles-Marie Jottras. Si vous désirez un beau logement de 250 m² à Londres, il sera généralement sur trois étages avec des plafonds bas, des escaliers étroits et des ouvertures limitées.

À Paris vous trouverez tout cela sur un seul niveau avec lumière, hauteur sous plafond, parquet moulures, cheminée, etc. »

Quant aux biens les plus luxueux, à plusieurs centaines de centaines de milliers d’euros, ils conservent la chasse gardée d’une clientèle étrangère qui apprécie toujours autant la ville de paris.

L’ensemble de ces composants mis bout à bout devraient permettre d’écarter le risque de bulle immobilière. Le développement du Grand Paris pourrait, certes réduire la pression sur la demande intra-muros, notamment pour les biens «standards» mais devrait continuer d’un impact marginal sur le marché du luxe.

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